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Selon l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), il faut regrouper sous le terme « biotechnologies» ou “biotech”, toutes les applications de la science et de la technologie à des organismes vivants ou à leurs composantes, produits ou modélisations dans le but de modifier des matériaux, vivants ou inertes, à des fins de production de connaissances, de biens ou de services.
Les “biotech” sont ainsi au croisement des sciences du vivant et d’autres disciplines telles que la physique, la chimie ou encore l’informatique. Si le domaine de la santé représente la part la plus importante de ce domaine avec notamment les champs de l’immunothérapie anticancéreuse et la thérapie génique, ce-dernier s’étend également à d’autres secteurs comme l’environnement, l’agriculture ou encore l’industrie.
Les sociétés du secteur de la biotech travaillent ainsi sur des sujets variés tels que la génomique, la détermination de séquences de protéines, la culture de tissus, le développement d’organes artificielles, le développement de bioréacteurs pour des applications multiples, la thérapie génique, la modélisation de procédés biologiques complexes ou encore l’application de procédés de nano-fabrication pour l’administration de médicaments.
Dans le cadre de la pandémie actuelle, de nombreuses entreprises du secteur ont réorienté leurs recherches afin de lutter contre le COVID-19 avec :
Bien que regroupant des applications variées, les biotechs ont en commun de travailler sur des applications de rupture. Elles sont souvent issues de travaux de recherche académiques provenant des plus grands laboratoires français. Elles sont à cheval entre la recherche publique et l’industrie, appartenant au secteur privé.
Ce positionnement sur des technologies de rupture implique un modèle économique particulier avec :
Dans ce contexte, la fiscalité de l’innovation n’est pas un simple facteur optimisateur mais un levier de financement indispensable et structurant pour toute une filière. L’activité de Recherche et Développement (R&D) d’une biotech se fait à perte pendant des années. On estime qu’il faut entre 10 et 15 ans pour qu’une technologie voit le jour.
Le Crédit Impôt Recherche (CIR) est ainsi un financement crucial. Avec les autres aides publiques à l’innovation, ce financement permet de limiter les besoins en fonds propres. Ainsi les montants de levée sont moins importants, tout comme la dilution.
En parallèle, le Crédit Impôt Recherche (CIR) structure la filière. Notamment au niveau de la relation donneur d’ordre et prestataires d’études cliniques, préclinique, screening, analyses. Cela permet de maintenir dans la durée des partenariats structurant avec les organismes de recherche publics.
La trésorerie étant un sujet critique pour le secteur, notamment dans le cadre de la crise actuelle et le ralentissement des levées de fonds. Ces sociétés peuvent également faire appel à des outils de préfinancement de leurs CIR avec notamment le PREFICIR de Neftys.
Le sujet du financement des biotechs est capital. On estime qu’elles passent un tiers de leur temps à chercher des fonds pour financer leurs actions !
Leyton, est un cabinet de conseil fort d’une expertise en cette matière de financement de l’innovation. Il accompagne dès à présent ses clients dans la mise en œuvre de cette recherche de fonds.
Le cabinet Leyton possède une trentaine de consultants experts de la filière. Il permet ainsi d’accompagner ces sociétés dans la construction et la justification de leur Crédit Impôt Recherche (CIR).
De plus, en tant que partenaire historique de Neftys, nous avons la possibilité d’organiser le financement du Crédit Impôt Recherche (CIR) en cours d’année et au fil des dépenses engagées.
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